Le repos du guerrier (bis)
Il me semble qu'il y a très très longtemps, dans une galaxie far far away, un premier post portait déjà ce titre. D'où le bis...
L'épreuve
du feu est passée; non je ne parle pas des partiels finaux (fiscalité
et procédures collectives) mais de l'apéritif suivi du repas de classe.
Ben vous savez quoi? Même pas drôle, y a pas eu de bagarre. Déçu je
suis comme aurait dit Yoda.
Poour résumer l'apéritif a été très très
calme voir même anesthésiant, mon camarde matthieu et moi n'ayant pas
bu une seule goutte d'alcool histoire de faire mentir les mauvaises
langues nous ayant traités d'alcooliques (à croire que les quilles de
blanc n'étaient là que pour nous).
Le repas, dans un restaurant
mexicain tenu par un patron auvergnat, servi par un serveur indien homo
('tention chuis pas homophobe, ne me pourrisez pas de mails vengeurs),
était bien trop cher pour ce que nous avons mangé (menu somalien?). Ma
chère camarade de classe à ma grande surprise m'a adressé la parole une
fois, suivie sans aucun doute d'un déluge d'aphtes et/ou de gerçures en
réaction à ma personne. Mon cantalien a de nouveau tenté une attaque
sur elle, sans doute sans effet escompté car elle tirait une gueule
pire que lorsqu'elle me parlait. A part ça, c'était une bonne soirée,
ne croyez pas!
Par contre, depuis ce
matin la journée est toute autre. Comme on dirait poliment il s'agit
d'une journée de merde; réveil avec prise de tête avec ma meilleure
amie (non vous ne lisez pas Dawson, je n'ai pas couché avec elle cette
nuit), trajet de train debout entre deux wagons (fumeurs c'est plus
drôle), un coup de blues post-partiels impressionnant.
Les raisons?
la prise de tête matinale, le vide de ma vie sentimentale... j'ai
réalisé avec horreur hier soir qu'une fille que je trouvais mignonne
n'aurait pas spécialement envie de sortir avec moi, à moins d'être
bourrée (dixit son entourage). Objectif: après ma licence pro
compta-finances, je passe une licence IV...